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Les chrétiens sont heureux de pouvoir enfin se retrouver pour célébrer ensemble la Semaine Sainte. Mais les restrictions des libertés religieuses imposées durant le confinement empêchent à Rosa de tourner la page, explique Lois McLatchie. 

“Pour beaucoup de personnes, la fête de Pâques de cette année aura été particulièrement joyeuse. 

Il y a deux ans seulement, suite à la pandémie du Covid-19 et à la fermeture immédiate des églises par crainte d’infection, il était interdit de se rassembler pour fêter Pâques. 

Lorsqu’il est devenu clair que le risque d’infection dans une église n’était pas plus élevé que dans un supermarché ou tout autre espace public, les églises en Angleterre ont pu rouvrir leurs portes, en respectant toutefois certaines mesures restrictives. Le gouvernement Écossais, de son côté, s’est vu poursuivi en justice à cause de sa décision disproportionnelle de fermer les églises tout en laissant ouverts les magasins de vélo et les épiceries. Par une décision tombée à pic pour Pâques, la plus haute instance civile de l’Écosse a protégé la liberté de religion. En avril 2021, les fidèles ont pu se rassembler dans les églises – en gardant bien leurs distances – pour chanter ensemble: “Il est vraiment ressuscité”. À travers les procès qui ont accompagné la phase d’adaptation à la cohabitation avec le virus, les gouvernement ont appris – ou les tribunaux ont clarifié – qu’en temps de crise, la possibilité de pratiquer sa religion est essentielle pour la société”, écrit Lois McLatchie, responsable de communication chez ADF International. 

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